Frédérique Beharry, chez Aravati
Il y a quelques années, j’ai eu la chance de participer à une conférence dont le sujet était « La Fabrique à Kifs » avec Florence Servan Schreiber.
J’ai découvert une conférencière passionnée et passionnante, qui m’a donné envie de changer de perspective sur la vie quotidienne, et qui m’a appris à écouter ce qui me faisait du bien.
«3 kifs par jour» c’est le livre qu’elle avait publié à l’époque. Depuis, elle en a écrit bien d’autres: tous évoquent la psychologie positive ainsi que notre rapport au bonheur, ou comment muscler notre faculté à éprouver le bonheur, à vivre mieux et plus longtemps.
On a tendance à croire que la psychologie positive est une blague et que voir les choses de façon positive pourrait nous rendre un peu niais.
Mais ce que j’ai appris avec Florence Servan Schreiber c’est qu’il y a un postulat de départ à cette pratique du bonheur: la vie est difficile. Et c’est vrai, nous surmontons tous des épreuves et des difficultés dans notre vie personnelle ou professionnelle.
La psychologie positive ne règle pas nos problèmes mais nous aide à les dépasser.
Même si je n’ai pas appliqué tous les principes énoncés, il y en a un que j’ai conservé: la gratitude.
Florence Servan Schreiber croit particulièrement en cette notion et je vous invite à regarder ce TedXTalks qu’elle a donnée sur le sujet il y a longtemps certes mais dont le discours reste intemporel.
Si cela vous donne envie d’aller un peu plus loin sur le sujet, je vous encourage à lire son livre « 3 kifs par jour » qui ne vous coûtera pas grand chose: un peu d’argent et un peu de temps pour lesquels, j’espère, vous pourrez dire merci.